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Le dernier des mohicans

11 juillet 2021

Veille documentaire COVID

Bonjour, J'ai publié un billet sur le procès pour crime contre l'humanité. J'ai parlé — sans développer — de la veille documentaire que je faisais quotidiennement mais je voulais rappeler une évidence : celle de la non-exhaustivité. Compte tenu du nombre...
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19 mars 2023

Raoult, sinon rien

 

Raoult, sinon rien

 





Raoult n’est plus à présenter. Malheureusement.

 

Il est en effet le Janus qui a dénoncé l’affaire CoVID, dénoncé les pseudo-vaccins… tout en se déclarant partisan de la vaccination systématique (sic) des soignants.

 

 

 











Comme j’ai déjà eu maintes fois l’occasion de le dire : celui qui n’est pas anti-vaccinal est pro-vaccinal. Les attitudes de « ni-ni » sont à cet égard tout à fait révélatrices.

 

L’homme conserve toujours ses fanatiques. « fanatiques » est le mot quand on lit . Je cite :

 

« J ai soutenu Didier Raoult dès le début mais j’ai pu regretter ses silences en 2021 et 2022 en particulier sur les suspendus . Trop de prudence? Espoir de survivre à l’épuration macronienne. Qu’importe, il parle à nouveau et les paroles sont justes et fortes. »

 


Comment ose-t-on publier ce genre de propos ?

Le rédacteur a un sacré sens de l’humour et de la litote, sans parler de l’inexactitude quant aux dates. Comment en effet Raoult aurait-il pu avoir des propos en faveur des suspendus alors qu’il avait souhaité en même temps qu’ils fussent tous vaccinés dès juillet 2021 ?


« paroles fortes », lit-on aussi. Examinons-les, voulez-vous ?

 

Patrice Gibertie cite Raoult en ces termes en écrivant CoVID sans aucune majuscule comme voius le voyez :

 

«… mais il y a des myocardites et des troubles du rythme mortels après vaccin covid en particulier chez les adolescents et les hommes jeunes qui ne meurent pas, en revanche, de covid. »

 

 

Non ? Sans blague ?

 

Gibertie traite donc comme étant paroles d’Évangile ce que la Résistance déclare depuis 2 années déjà ! Et ce serait, je cite, des « paroles justes et fortes ».

On encense les résistants (sans majuscule, ici) de la dernière heure en ne donnant aucun crédit à ceux qui ont véritablement diffusé la nouvelle, deux ans, auparavant.

L‘armée de l’ombre n’a clairement pas droit de cité chez Patrice Gibertie.

 

Autre pièce d’anthologie :

 

« Les masques, le confinement n’étaient pas basés sur la science mais sur l’autorité politique. »

 

 

Quelle nouvelle fracassante !

 

La Résistance, depuis l’avènement même du CoVID n’a eu de cesse de le répéter sur tous les tons, donc certains me plaisent personnellement beaucoup. Je vous laisse juges.

 

 

 

 

                                








          









                     

  
                           



                                
 
                                        

                


 


Vous me pardonnerez de ne pas publier l’ensemble de mon bêtisier Masque.




Gibertie finalise :

 

« La revue d’analyse complète des articles scientifiques (Cochrane,30/01/23) confirme qu’il n’y a pas d’ efficacité du port du masque pour éviter la contagion du CoVID (sauf pour le personnel soignant) mais que l’ hygiène des mains est utile. On est d’accord depuis longtemps. »



Raoult parle pour ne rien dire et Gibertie fait du remplissage avec du vide.

 

Qu’une revue X ou Y affirme le manque d’efficacité du masque devant la contagion du CoVID est un truisme parfaitement démontré par les images ci-dessus, autant que par le bon sens. Bon sens totalement ignoré de Raoult qui a visiblement besoin d’une étude pour être sûr de son fait. Magie de la chose imprimée, j’imagine ?

 

Nous constatons donc que les personnages médiatiques génèrent toute une colonie de faire-valoir. Patrice Gibertie, blogueur particulièrement fécond — deux billets quotidiens, en moyenne — gagnerait, de mon point de vue, à mieux choisir à la fois ses idoles et ses thèmes de dissertation. Une vidéo récente sur FranceSoir et les propos qu’il y tenait m’avaient incité à visiter son blog.

 

On ne m’y reprendra plus.

 

Quant à Raoult, je ne résiste pas à l’envie de publier un de ses mémorables propos ; propos parfaitement résumés avec l’expression : « Tout, et son contraire ». Voyez ainsi ce que ce pro-vaccinal dit, semble-t-il sans sourciller :

 

                  







Il recommande donc à ses confrères de se précipiter sur la seringue de façon systématique (sic)… et ironise par ailleurs sur les vaccins qui ne protègent pas !

 

En bon négationniste, il feint d’ignorer le rapport du Sénat du 6 juin 2007 dont deux « attendus » sont hélas accablants pour lui et sa clique.

 

         




Les virus n’ont jamais rien prouvé — comme les militants anti-vaccinaux n’ont de cesse de le clamer — et, pire, ils tuent. Je ne fais pas allusion aux pseudo-vaccins pour le CoVID mais des vaccins en général.

Et la presse alternative, même elle, de marcher comme un seul homme en écoutant ce genre de propos (je parle de Raoult, bien sûr), et, pire, de les publier pour, probablement, satisfaire la vox populi.

 

C’est à se demander pour qui elle roule.

 

 

17 octobre 2021

Ni-ni

 

 

 

 

 

J’entends de plus en plus souvent une affirmation qui me met les poils au garde-à-vous.

Elle consiste tout simplement à dire péremptoirement que tel ou tel scientifique est anti-vax, au motif qu’il est contre la pseudo-vaccination CoVID. Contre CELLE-Ci : oui. Contre les vaccins conventionnels: non.

Ils sont en effet de plus en plus nombreux, grâce au Ciel, à vilipender l’holocauste en marche avec son outil de base que sont les quatre pseudo-vaccins : Pfizer, MODeRNA, AstraZeneca et Janssen. Les quatre cavaliers de l’apocalypse, ainsi que l’ont opportunément perçu quelques personnes perspicaces.

 


Le premier a avoir bénéficié, à tort, de cette étiquette d’anti-vax est bien sûr, antériorité oblige, Didier Raoult. J’avais prévenu dès cette époque que l’intéressé ne s’est jamais prononcé contre les vaccins.

 

Or, expérience du terrain en poche,
quand quelqu’un ne se prononce pas
sans ambiguïté contre les vaccins,

c’est qu’il est pour

 

Parmi les scientifiques qui constituent le périmètre de mon analyse, je n’en connais qu’un qui ait franchi le Rubicon : Christian Tal-Schaler. J’entends déjà les commentaires à la lecture de ce billet (avant, j’’espère, de pouvoir les lire ci-dessous) qui me citeront d’autres noms de Résistants parmi les scientifiques. Parmi eux, je pense à Jacqueline Bousquet (†), Marc Vercoutère (†) et Alain Scohy sans parler de Jean Méric, auteur du fameux : « Vaccinations : je ne serai plus complice », ouvrage évidemment passé intégralement sous silence par les presstitués1

J’ai eu l’insigne honneur d’avoir correspondu avec toutes ces personnes et même rencontré Marc Vercoutère qui m’a honoré de sa visite à mon domicile, vers 2004, et aussi croisé Alain Scohy à la même époque.

Bref, ceci ne représente quand même que bien peu de monde en regard de la profession médicale dans son ensemble : quelques 816 000 personnes en 20092. Du reste, à bien y regarder, peu de professionnels ont qualité pour se prononcer valablement sur les vaccins. Hormis ceux qui font de la recherche universitaire ou qui lisent les recherches, ce NE sont PAS des scientifiques, ainsi que le rappellent les docteurs Jean-François Lesgards et Jean-Paul Bourdineaud, citant de ce fait le médecin et sénateur Alain Houpert.

 

 Cet aparté étant fait, rappelons aussi une des vérités évoquées dans le rapport du Sénat de juin 2007 : «aucun cours relatif à la vaccination n'est dispensé dans les facultés de médecine françaises. » (…) « Le président Jean-Michel Dubernard, député, en a convenu, rappelant qu'il n'existe pas de preuve scientifique sur l'utilité des vaccins. »

 

 

 

 

rapport du Sénat, juin 2007

 

 

 

Dès lors, aborder le dossier Vaccins ne peut valablement être fait que sous l’angle de sa dénonciation, littérature scientifique/statistiques et officialisation parlementaire à l’appui. J’essaie modestement de m’y employer depuis 1996.

Pour en revenir aux médecins qui diffusent, eux aussi, la bonne parole sur ce thème des plus clivants, on peut valablement avancer quelques noms, encore qu’ils soient déjà sur toutes les lèvres des personnes éveillées. MAIS, trois fois MAIS, TANT QUE les intéressés ne se sont pas prononcés sans ambiguïté sur le camp qu’ils ont choisi entre les PRO et les ANTI, l’épée de Damoclès restera éternellement suspendue au-dessus d’eux. Le dernier en date qu’il m’ait été donné de dépister est Laurent Mucchielli : «L’idéologie de la vaccination intégrale n’est ni de la science ni de la médecine». Le propos commençait pourtant bien mais notre homme a fini par craquer : « J’espère même que des vaccins classiques, pasteuriens, seront bientôt commercialisés, comme le Valneva, issu de la recherche franco-autrichienne. ». Nous y voilà !

 

Que vous avais-je dit ?

Notre homme n’a donc TOUJOURS rien admis du pouvoir de nuisance des vaccins. À lui aussi, il faudrait rappeler les termes du rapport du Sénat de juin 2007Il plaide pour une réponse de type nuancée face aux vaccins. Voilà encore bien une attitude munichoise.

Ceux qui écrivent sur les vaccins avec une telle attitude ont généralement un conflit d’intérêt. Non pas que celui-ci soit direct mais indirect, les intéressés étant plus ou moins rétribués par des structures qui sont partie prenante dans le dossier Vaccins. Ainsi, Laurent Mucchielli est sociologue, directeur de recherche au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), il enseigne régulièrement dans les universités d’Aix-Marseille et de Corse. Il peut donc s’encanailler en égratignant un chouilla les pseudo-vaccins CoVID mais dans des limites qui doivent rester raisonnables sous peine de voir sa carrière un rien contrariée. Didier Raoult a le profil que l’on sait : coiffé par l’Institut Hospitalier Universitaire de Marseillemais a viré sa cuti (si j’ose dire) en juillet 2021. il a ensuite souligné l’incroyable pression dont il a été l’objet. Je développe ce point de la pression ci-après. Il a été également menacé de devoir rendre son tablier… pour finalement être maintenant à son poste.

Je pourrais continuer en citant ad nauseam ceux qui ont pris la parole sur le dossier CoVID mais aussi sur bien des dossiers polémiques car mettant en jeu des capitaux colossaux, généralement sinon exclusivement lié à Big Pharma.

Cessez donc d’encenser Pierre ou Paul sans discernement ! Vous aurez un retour de flammes tôt ou tard. Et vous jurerez, mais un peu tard, que l’on ne vous y reprendra plus. Vraiment ? C’est une tendance bien naturelle que de croire (sincèrement) avoir tiré les leçons d’une aventure… et de retomber dans le panneau un jour ou un autre.

 

 

N’y a-t-il pas des scientifiques qui puissent encore
subir des pressions de leur instances ordinales
ou structures employeuses ?


Oui, bien sûr,
et c’est à mon sens ce qui crée l’auto-censure chez les intéressés. Ce que je viens de dire sur Didier Raoult n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Moins médiatisés, ceux-là. Ils n’en sont pas moins réels À ce propos, je pense avec émotion du Docteur Denis Agret qui a volontairement mis un terme à sa carrière en septembre 2021.

 

Il n’empêche que l’on tombe alors sur un autre phénomène qu’un psychologue (on voudra bien m’excuser de ne pas le citer, n’ayant pas retenu son nom3). Celui-ci, spécialiste des emprises sectaires, avait déclaré qu’il fallait autant de temps à la victime pour se défaire psychologiquement de l’emprise qu’il était resté sous cette emprise. On comprend mieux, alors, le phénomène que je viens d’introduire : le silence assourdissant des médecins retraités dont on devinera sans difficulté tout le bien que j’en pense.   

 

Il est facile de comprendre qu’un scientifique comme un médecin est un multiple captif. Il subit en effet :

l’emprise du Conseil de l’Ordre des médecins

l’emprise de l’ARS (Agence Régionale de Santé )

l’emprise de la CPAM

l’emprise des patients qui restent libres de l’attaquer en justice 

N’importe laquelle de ces menaces est susceptible de se traduire, pour lui, par une interdiction d’exercer. Or, la médecine est ce que j’appelle un métier « captif », en ce sens que celui qui l’exerce ne peut guère exercer un autre métier. Que voulez-vous que fasse un médecin interdit d’exercice ? Un policier ? (à part vigile dans un supermarché), un magistrat ? un infirmier ? un avocat?  un banquier ? Un architecte ?

On observera aussi que presque tous ces métiers sont coiffés par un Conseil de l’Ordre. Comme personne, ou presque, n’a une idée approximative de la nuisance de cette officine, je citerai la très regrettée Sylvie Simon dont j’ai aussi croisé la route :

 « Selon Platon, Socrate fut condamné à mort car il ne croyait pas aux dieux reconnus par l'État. De nos jours, ces dieux ont été remplacé s par des mandarins et des experts. Et, tels Socrate, nombre de médecins qui refusent d'idolâtrer ces nouveaux maîtres à penser, comparaissent devant un Tribunal d'exception, le Conseil de l'Ordre, qui s'est arrogé un pouvoir régalien et en abuse en toute impunité avec la complicité des caisses d'Assurance maladie. (…) Comme le clamait déjà en 1930 un substitut du Procureur au cours du procès d'un guérisseur: " Peu importe que les inculpés aient guéri leurs semblables 1 La seule chose qui m'intéresse est de savoir s'ils avaient le droit de guérir. Seules les personnes pourvues de diplômes ont le droit de guérir et même de tuer. Obtenez un diplôme, inculpés, et vous aurez le droit de vie et de mort" (…) En l'occurrence, actuellement, les médecins rayés de l'Ordre et accusés ainsi d'exercice illégal de la médecine, restent en possession d'un diplôme inaliénable, mais, n'étant plus inscrits à l'Ordre, ils se retrouvent interdits de pratiquer la médecine et sont ainsi souvent traités de « charlatans». Rien n'a donc vraiment changé depuis 1930 et les réquisitoires des procureurs de notre époque ressemblent étrangement à ceux de leurs aînés, chaque fois qu'un médecin comparaît devant un tribunal pour avoir soigné ses patients avec des molécules « non agréées » par la Faculté et, par conséquent, considérées comme nocives, même si les preuves de leur efficacité sont patentes. Ces réquisitoires ressassent la même litanie: « La question n'est pas que vous ayez guéri mais que vous n'aviez pas le droit de le faire! ». Accusation qui pourrait aisément laisser la place à celle de «non assistance de personne en danger», si le médecin interdit n'était pas intervenu.»   

 

(les enrichissements de caractère sont miens)


N‘est-ce pas que vous voyez maintenant les médecins interdits d’exercice sous un autre angle ?

 

Voyons maintenant sur la forme :

 « Toute section disciplinaire fonctionne comme un tribunal d'exception et bafoue impunément le principe fondamental de débat contradictoire.

Le médecin concerné est jugé par des confrères qui ne possèdent aucune compétence juridique et dont rien ne peut garantir l'indépendance ni l'impartialité, car il est fréquent d'y rencontrer des médecins qui possèdent des intérêts dans l'industrie pharmaceutique. De même, dans la section des assurances sociales, certains juges, salariés par les caisses d'assurance-maladie, sont à la fois juge et partie »

 

J’ai maintenant quelques excuses à présenter quant à la longueur de cette évocation. Mais eu égard de son contenu, vous reconnaîtrez que la concision eût été malséante pour bien appréhender l’horreur que constituent ces officines dans toute leur ampleur. SI les méfaits du Conseil de l’Ordre sont vaguement connus de tout un chacun, son modus operandi, sa genèse et l‘étendue de son ignominie l’est beaucoup moins. Je tenais donc à donner cet éclairage.à des fins purement pédagogiques. De sa genèse et de son but, on pourra tout résumer d’une phrase, encore sous plume de Sylvie Simon :

 

« Créé par Pétain à la demande de l'occupant, contre le médecin et non pour lui - pour l'asservir et non pour le servir - il fut dès sa naissance un instrument d'oppression aux mains de l'ennemi et de ses suppôts et n'a pas réussi à s'affranchir de l'esprit totalitaire qui avait présidé à sa conception »

On comprendra désormais quel poids pèse en permanence sur les épaules des médecins et je comprends parfaitement que cela joue dans leurs gestes et propos.

J’allais oublier, pour illustrer ce qu’il faut penser des ARS, le procès fait à Denis Agret par son ARS et donc il ne faut attendre, j’en ai peur, rien de positif. L’intéressé étant anti-vax, comment être surpris ? Il accuse la pseudo-pandémie de « mensonge d’État », ce qui n’a évidemment pas dû être du goût d’Olivier Véran et de ses coreligionnaires.

Allant jusqu’au bout de ses convictions, Denis Agret avait démissionné ainsi qu’on peut le voir sur cette vidéo du 26 septembre 2021.

Dans ces conditions, il est simple de comprendre que même si 99+ % des intéressés n’ont pas connaissance de toute la nuisance du CO par le menu, leur inconscient collectif reste omniprésent dans leurs décisions… ou absence de décisions. Ainsi, révéler la vérité sur la pseudo-pandémie reste entièrement à leur initiative et ils ont choisi de NE RIEN faire.

 

 

 

141

 

 
Ne serais-je en train de prêcher le vrai et le faux et tomber moi-même dans le piège du « Ni-ni »? Non, je fais la part des choses. À chacun d’en faire autant.

Mais nous avons vu que les spectres de la chose médicale ne se limitent pas du Conseil de l’Ordre et ses décentralisations départementales.

Les ARS suffisent très bien pour mettre à mal une carrière et j’en ai apporté la preuve di-dessus. Luc Rouban, directeur de recherche au CNRS et spécialiste de la fonction publique, soulignait, en 2020 : « Les ARS s'occupent des hôpitaux, mais pas du médico-social géré par les départements ». On voit que chaque entité n’a qu’un rôle parcellaire.

Je ne peux pas faire autrement que de repenser à l’expérience de Stanley Milgram qui a débouché sur la rédaction de son livre Soumission à l’autoritéqui a été une bombe au moment de sa publication. Il avait expliqué comment les États font en sorte de morceler la responsabilité de chacun des pions utilisés dans un projet donné, de sorte que ces acteurs, déresponsabilisés, exécutent leurs taches comme si de rien était et dans le plus grand confort moral. Adolf Eichmann, dignitaire nazi et responsable de la logistique de la « solution finale » devait d’ailleurs déclarer à son procès qu’il ne s’occupait que de « fret ferroviaire ». Sans commentaire, à part que l’explication de ce mécanisme de dédouanement est donnée remarquablement par le film « I, comme Icare » d’Henri Verneuil via cette séquence-ci et constitue un préalable indispensable à toute action politique ; ce terme devant ici être entendu comme « gestion de la cité ».
Quant à la fabrique du consentement, je renvoie le lecteur à Noam Chomsky et son ouvrage éponyme fabriquer un consentement. Même réflexion quant à son caractère incontournable.

Cet autre aparté pour rappeler, car il le faut, que les États ont parfaitement huilé le mécanisme de la soumission et ce, depuis la nuit des temps. Le dossier CoVID n’est donc que le dernier exemple en date.

 

La CPAM, ne l’oublions pas, joue un rôle de censeur quand bon lui semble, avec ses brigades d’inspecteurs chargées, tant du contrôle des assurés que de celui des professionnels de santé. La chose est méconnue, elle aussi.

En synthèse et sans nullement chercher à absoudre les médecins de ne pas dire la vérité, il nous faut admettre qu’ils ont des circonstances atténuantes. Il n’empêche que le thème central de ce billet demeure. Après avoir, je pense, maintenant rendu à César ce qui lui appartient, revenons-en donc à l’étiquetage PRO ou ANTI vaccins que se donnent – ou laissent habilement supposer – les commentateurs ici ou là.

 

 

Le point le plus embarrassant est
l’attitude des médecins aujourd’hui retraités

 

et qui donc n’ont plus rien à craindre de qui que ce soit — et qui continuent farouchement à se déclarer quand on les y pousse : « Ni-ni ».

Sachons rester circonspects en « faisant les équipes » et en évitant les « faux amis » autour de ce dossier CoVID, en particulier. Et « vaccin », en général. Beaucoup d’acteurs à la médiatisation avérée sont en fait des révisionnistes.

 

Ceux qui annoncent la couleur, comme nous l’avons vu, avec mon panthéon anti-vaccinal, se comptent à doses homéopathiques.

 

Alea, jacta est

1« presstitués », expression de Paul Craig Roberts pour qualifier les journalistes

2Source : « Personnels et équipements de santé », INSEE, recensement de 2009, le seul accessible au moment de la rédaction de ce billet en 2021. Révéler les chiffres plus récents serait-il dérangeant ?

3Merci de me le faire connaître, au besoin

 

23 août 2021

Des syndicats

 

Certains d’entre vous se sont émus de mon billet du 16 juillet 2021 à propos des critiques faites sur les syndicats. Ce qui semble avoir déplu est : « qui la ramèneront dès l'orage passé avec une faconde redoublée »

Quand je dis que cette engeance va revenir, tôt ou tard, avec une faconde redoublée, j’en veux encore pour preuve aujourd’hui via l’article « Pourquoi nous refusons de participer à la stratégie vaccinale » du syndicat de pompiers FA/SPP-PATS. Passons rapidement sur le fait que ce document n’est pas daté pour ne retenir que le fait qu’il parle du texte légal de mars 2021. Il lui est donc légèrement postérieur. Comment ? L’eugénisme du COVID a débuté en janvier 2020 et ce n’est que 15 mois après que ce « syndicat » se décide à remuer une oreille ?

Quand je dis remuer une oreille, il faut entendre, là aussi, bien pire : leur propos est de dénoncer l’obligation vaccinale. Or, le projet EVENT 201 indiquait noir sur blanc que l’obligation vaccinale fait partie du plan machiavélique. EVENET 201 date d'octobre 2019 : 18 mois avant de réagir ?

Nos braves pompiers n’ont donc même pas remué l’oreille depuis globalement mars 2021, date à laquelle les premières vaccinations ont commencé. Maintenant, c’est plus grave — rendez-vous compte ! — l’obligation vaccinale LES TOUCHE avec des menaces sur l’emploi en cas de non-exécution. Et les intéressés de prendre des airs de vierge offensée. Là, du coup, on s’en émeut, messieurs-dames, et on pisse un magnifique communiqué de presse. On me pardonnera de ne pas pleurer.

Je sais pertinemment ce que vous allez m’écrire : que le communiqué ne parle nullement de l’obligation vaccinale faite aux pompiers mais traite sous des apparences très nobles de leur refus de pratiquer un geste médical. C’est l’arbre qui cache la forêt. J’en veux pour preuve le fait que certains, volontaires ou professionnels, ont été mis à pied en Haute-Savoie pour avoir refusé l’obligation vaccinale qui leur a été faite. CNEWS fait état d’un préavis de gréve avec effet le 9 août 2021. Donc, je repète, persiste et signe : maintenant qu'on leur fait obligtion de se faire vacciner, ils se manifestent.

 

 

Ligne 'Godefroy'

 

Même analyse avec le personnel soignant

 

dont j’ai déjà dit ce que j’en pensais le 19 juillet 2021. Ma position n’a pas varié d’un iota. En effet, depuis le 14 juillet, je participe activement aux déambulations organisées : à chaque fois, je rencontre des soignants. Très peu, en réalité, étant donné leur extrême lâcheté. À chaque fois, donc, je donne les coordonnées de mon groupe de dissidence puisque l’on pleure sur mon épaule.

 

Deux choses à dire :

— tout comme les pompiers, les soignants s’émeuvent de devoir être vaccinés sous peine, eux aussi, de perdre leur emploi (scénario tout à fait illégal, ceci dit en passant) parce que l’on veut leur imposer le vaccin. Seuls, me semble-t-il, deux hôpitaux de Marseille auraient déposé un préavis de grève pour toute la France. Le système hospitalier français étant, pour 2018 nous dit l’INSEE de 3 036 structures : 2, en comparaison, fait… comment dire… un peu foutage de gueule sur les bords. C’est presque l’exception qui confirme la règle.

Cela n’empêchera pas les syndicats (on parie ?) de faire les fiers-à-bras, dans quelques temps, en soulignant le rôle bien sûr prépondérant qu’ils sont joué dans l’escroquerie COVID. De quelque corporation qu’ils soient.

 

Mais, dites-moi, n’est-ce pas pourtant eux, soignants, qui vaccinent les population depuis 1855, date de l’apparition de la monstruosité de Pasteur ? Deux poids, deux mesures, on dirait.

 

— ils réclament, ce soignants, de la solidarité mais personne – je dis bien : personne — parmi ceux rencontrés dans ces manifestations, ne s’est manifesté via mon compte Mail.

On voit clairement jusqu’où peut aller leur lâcheté : même pas d’instinct de conservation !

Certains, tout de même, évacuent un peu de pression, en se confiant. Je relève à ce propos deux témoignages :

« Je travaille dans le secteur du médico-social donc avec médecins, infirmières, puéricultrices... C’est un service du département et en ce qui me concerne c’est xxxxxxxx avec comme président yyyyyyy (...) Donc, autant vous dire qu’il est impossible, et très mal vu, d’être contre les mesures dans mon environnement professionnel. En plus, j’ai une collègue (...) qui est la belle fille d’une député gggg, elle-même ancien médecin...

J’ai rencontré une secrétaire du zzzzzzzzzz, hier à la manif. Elle m’a parlé de sa situation : maman seule avec enfant ; impossible pour elle de ne pas travailler. Me dit qu’elle est seule dans son hôpital car tout le monde est pro-vaccin. La directrice est amie avec celle de l’ARS de mmmmmmmmmmmmm et nnnnnnnnnnnn. Les syndicats de son établissement sont pro-vaccin et ne se mobilisent pas. Elle vit un enfer. Nous avons évoqué la possibilité de se mettre en arrêt-maladie. Elle m’a dit que la directrice avait donné l’ordre aux secrétaires d’inciter les personnes qui prennent RDV à se faire vacciner avant de venir au RDV ! Elle refuse de le faire…

J’ai aussi rencontré une infirmière de bloc (...) à qui je donne les coordonnées de ffffffff. De plus en plus d’anesthésistes-réa ont des observations sur les accidents post-vaccins et les langues se délient. Toutefois le CHU est totalement verrouillé et le personnel sous pression. »

 

-_-

 

« Après une absence depuis début avril pour avoir eu le COVID. Très malade… malgré le vaccin fait huit jours avant. »

Si je tenais à restituer ces témoignages dans leur entièreté, je limiterais (avec difficulté) mon commentaire sur ce qui est dit à propos des syndicats : « Les syndicats de son établissement sont pro-vaccin et ne se mobilisent pas ». Je le dis avec d'autant plus de liberté que ces propos ne sont pas miens.

Personnellement, je ne suis plus surpris puisque c’est justement cette Collaboration qui m’a fait quitter Sud-SOLIDAIRES, ainsi que je m’en suis expliqué.

 

Donc, pour me faire bref et tout résumer d’une phrase,

ces braves personnes sont toutes scandalisées
qu’on ose les forcer à se faire vacciner…

…mais s’en foutaient comme de l’an 40 auparavant
quand il s'agissait du grand public

 

Que voulez-vous que je fasse ? Que je les embrasse ?

 

19 juillet 2021

Solidarité avec les Soignants : oui, MAIS… (MAJ du 21 juillet 2021]

 

 

Il est désormais quasiment incontournable, tant dans les manifestations anti-couillonavirus que dans les différents média s’y rapportant de lire : « Solidarité avec les Soignants ».

Certes, point n’est besoin d’un Bac+30 pour admettre que seule une union sacrée permettra de se sortir de cette épreuve. Celle-ci signifie réunion des opposés. Le problème de la quadrature du cercle n’est pas nouveau et le mot est faible. Il nous faut donc travailler de concert.

 

sans doute, mais sur quelles bases ?

 

Quelque chose me gêne, toutefois. Ces personnes sont (que l’on me rectifie si je me trompe) :

— les médecins qui nous ont vaccinés depuis Pasteur, le bon médecin1 et endoctrinés avec leur discours pro-vaccinal inébranlable

Je ne peux pas faire autrement — désolé — que d'inclure ceux qui défraient la chronique depuis mars 2020 avec l'affaire du couillonavirus : Raoult (sans commentaire. Ou plutôt, si. Un. Dès avril 2020, j'ai annoncé qu'il n'était pas franc du collier et qu'il ne fallait prêter à son discours plus de crédit qu'il n'en mérite. Ceci m'a valu quelques commentaires au vitriol, profanateur que j'étais, aux yeux de mes détracteurs, de la statue du Commandeur), Henrion-Caude, Tubiana, Fouché (si, si…), les époux Delépine. On me pardonnera de ne pas citer tout le monde. Ils nous disent ce que l'on a envie d'entendre… mais AUCUN ne s'est prononcé sur la nocivité des vaccins en général. Même ceux qui sont retraités et qui, donc, ne risquent PLUS AUCUNE foudre du Conseil de l'Ordre, des RAS ou de patients.

Le Pr Perronne, quant à lui, dans une vidéo de ce mois-ci, déclare :

« Moi, ce qui m'affole, aujourd'hui, c'est le fait que la médecine est mise sous cloche par l'administration. C'est-à-dire qu'on enlève toute liberté au médecin et puis on enseigne à la faculté qu'on n'écoute plus les malades. Si un malade a trop de plaintes : c'est psycho-somatique, on ne soigne plus que des résultats de scanner, de biologie.

Cette médecine-là ; je la hais, je la vomis. Moi, je suis là pour écouter le patient, pour trouver une solution avec lui. Une vision totalement pervertie de ce que l'on appelle : « médecine basée sur des preuves » — Evidence-based medicine »

Je sais que les conversions tardivent ont toujours quelque chose d'émouvant mais, allez savoir pourquoi, j'ai du mal à croire à la sincérité du propos. Car enfin, s'il la vomit autant, cette médecine, que ne l'a-t-il pas dit plus tôt ! Et puis, il y a bien d'autres raisons pour haïr cette médecine : les vaccins, sujet qu'il n'aborde jamais dans son intégralité. Pas plus dans cette déclaration-ci que dans les précédentes.

Lui non plus, n'a pas pipé mot à propos du rapport du Sénat de 2007. Se réserverait-il une zone de repli ?

Car enfin, notre homme est né en 1955 et n'est donc pas un perdreau de l'année, tant personnellement que professionnellement. Tout juste de 3 ans le cadet de votre serviteur.

Didier RAOULT n'a pas fait exception à la règle, hélas, et a fini par lâcher le morceau et céder à probablement d'occultes pressions : l'auto-censure en tête de liste, j'en fait le pari.

 

 

Raoult — traîtrise

 

 

Ces médecins sont des Janus (oui, je sais : c'est dur mais à la mesure de l'infâmie) et nous serons bel et bien obligés de nous rabattre sur ceux qui assument leurs propos : au besoin, et visiblement faute de combattants, sur les non-médecins qui ont une opinion sans complaisance. Je pense principalement à Jean-Jacques Crèvecœur tout en espérant qu'il y en ait d'autres ; Serge RADER (†) et Marc VERCOUTÈRE (†) dont les travaux nous restent, grâce au Ciel. Le « cas » Raoult n'est que le premier d'une série que j'espère courte, optimiste que je suis.

Un autre internaute vient d'ailleurs d'écrire quelques commentaires pas très amènes non plus sur le corps médical :

«  Que n’a-t-on vu, que n’a-t-on entendu, heure après heure, jour après jour, mois après mois, qui des professeurs de médecine, qui des chefs de service d’hôpitaux, qui des épidémiologistes, qui des statisticiens des data de la santé..s’installer sur les tréteaux de « la police médiatique » et prendre d’assaut le pouvoir. Sans en prendre conscience nous avons nourri et gavé tant par nos impôts que par la manne inodore des prélèvements sociaux, LE MONDE DE LA SANTE – des sociétés pharmaceutiques jusqu’aux mandarins – profitant à l’excès « de nos peurs »…et s’arrogeant dorénavant un pouvoir politique et financier incontournable.

Dans un premier temps de réflexion on pourrait s’insurger contre ce nouveau pouvoir et cela serait utile… »

 

Le mot est faible…

Faudrait-il, donc, que nous embrassions les médecins ?

— les infirmiers/REs pour qui on peut établir la même accusation

Vacciner à tour de bras et répendre la propagande vaccinale ne les a jamais gênées et, maintenant qu'elles ont compris (pour combien de temps ? Les paris sont ouverts) que les vaccins sont des poisons prient pour qu'on les aide, craignant à juste titre pour leur peau bien plus que pour leur emploi. Curieuse (et révoltante), cette ambivalence !

Autre réalité ahurissante : s'est déroulée chez moi une manifestation, l'an passé, contre les masques. Je me suis donc rendu, comme tout les éveillés, à mon CHU d'où la déambulation devait partir. Et j'ai pu voir, abasourdi, que 80 ou 90 % des professionnels de santé portaient un masque ! Ils n'étaient cependant pas sur leur temps de travail (ou l'obligation demeurait) et bénéficiaient donc de la liberté de ne pas porter de muselière. Comme tous les éveillés, encore une fois. Rien n'y fit. Que peut-on faire contre l'obnubilation et l'auto-censure ?


« Pas de recul »

 

De plus, leurs déclarations sont consternantes !

Elles sont, ces infirmières, contre la vaccination ? Oui, mais pas pour les bonnes raisons ! « Pas de recul » !;, déclarent-elles une fois de plus victimes d'une propagande nationale. Le problème est que les vaccins tuent et que — je sens que je dois ENCORE rappeler le rapport du Sénat de juin 2007 évoqué ci-dessous — IL N'EXISTE AUCUNE PREUVE SCIENTIFIQUE DE L'UTILITÉ DES VACCINS.

Pas de recul, d'un côté, et pas de preuves scientifiques, de l'autre : dans quelle langue faut-il s'exprimer pour convaincre des négationnistes ?

Avec un tel passif : qu'elles fassent d'abord amende honorable. C'est le minimum du minimum. Une information indiquerait que 40% des IDE à Lariboisière ont démissionné. Dont acte. Après, on fait les équipes comment ?

Je soulève le même questionnement : faudrait-il, donc, que nous embrassions les infirmières ?

— les structures hospitalières (si j’ose dire) qui, une fois le patient séquestré admis, lui administrent n’importe quoi sans qu’une information libre et éclairée lui ait été donnée préalablement. Il est alors noyé sous des médicaments qui ne servent à rien. S’il ne fallait qu’un exemple, celui des vaccins emporte la décision ainsi que le rappelle le rapport du Sénat de juin 2007.

 

Celui-ci rapportait les propos tenus lors d’une table ronde dont le sujet était : « Les vaccins en France : quels enjeux pour l'industrie pharmaceutique et la recherche ? ». Aucun philanthropie là-dedans : on parle gros sous. Du reste, il suffit de parcourir la liste des participants pour lever toute ambiguïté sur le côté unilatéral de la pensée:

        • le docteur Fabian Wild, Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) Unité 404 Immunité et Vaccination,

        • M. Fabrice Meillier, chargé de mission des affaires réglementaires du Leem (Les entreprises du médicament), MM. 

        • Hervé Raoul, directeur,

        • François-Loïc Cosser, directeur d'unité, et

        • Vincent Lotteau, chargé des aspects immunitaires et vaccinaux, à l'InsermLaboratoire P4 Jean Mérieux,

        • M. François Guillemin, directeur général de Lyonbiopôle,

        • M. Bertrand Alexandre, directeur de la BU Vaccins de Glaxo Smith Kline (GSK) France, président du Comité vaccins du Leem,

        • M. Alain Sabouraud, pharmacien responsable de Sanofi Pasteur et

        • M. Eric Lecocq, directeur général France de Sanofi Pasteur MSD, et

        • M. Vianney Moreau, directeur des opérations Novartis Vaccines.

 

Sans, naturellement,
aucun représentant du mouvement anti-vaccinal.
Et puis quoi, encore ?

La haute portée humaniste de l’événementiel n’échappera à personne : les enjeux pour l'industrie pharmaceutique et la recherche. Une affaire de fric, donc, car le fait d’ajouter « recherche » en fin de ligne n’est là, ne vous y trompez pas, que pour donner un rien de noblesse à la démarche.

Cela n’a toutefois pas empêché d’officialiser deux réalités que le mouvement anti-vaccinal assène depuis des lustres :

 (docteur Fabian Wild, Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) Unité 404 Immunité et Vaccination)

      • « aucun cours relatif à la vaccination n'est dispensé dans les facultés de médecine françaises. »

(...)

      • « Le président Jean-Michel Dubernard, député, en a convenu, rappelant qu'il n'existe pas de preuve scientifique sur l'utilité des vaccins. »

 

 

rapport du Sénat, juin 2007

 

 

Naturellement aucun « merdia » n’a couvert ces informations
de taille himalayenne un rien dérangeantes :
pas plus alors qu’aujou
rd’hui…

 

Ce long développement pour rappeler à qui l’aurait oublié que les structures hospitalières (il faudra vraiment trouver un autre terme…) ne jurent que par le vaccin. Pardi ! Le verrouillage est bien fait : un médecin évolue en permanence dans une secte2 qui s’assure très bien de sa docilité. L’État, tout d’abord, les ARS ensuite et — à tout seigneur tout honneur — le Conseil de l’Ordre des médecins. On excusera du peu. Bref, les structures hospitalières sont bien évidemment visées par les mêmes suceurs de sang.

La très regrettée Sylvie Simon, qui m’honorait de sa confiance, a beaucoup écrit sur la médecine et je retiens aujourd’hui quelques passages de ses travaux :

 

« Comme le clamait déjà en 1930 un substitut du Procureur au cours du procès d'un guérisseur: « Peu importe que les inculpés aient guéri leurs semblables ! La seule chose qui m'intéresse est de savoir s'ils avaient le droit de guérir. Seules les personnes pourvues de diplômes ont le droit de guérir et même de tuer. Obtenez un diplôme, inculpés, et vous aurez le droit de vie et de mort. »

[Source : « Exercice illégal de la guérison » de Sylvie SIMON - ISBN 2-87211-066-6]


 « En revanche, on a rarement vu le Conseil de l'Ordre exclure les médecins impliqués dans les récents scandales. Ainsi, le Dr Garretta, de triste mémoire, responsable de nombreux décès sans aucune commune mesure avec l'éventuelle culpabilité de la plupart des médecins inculpés, s'est vu infligé une interdiction d'exercer pendant deux ans (alors que l'interdiction initiale était à vie). Et l'Ordre se veut le garant de !'éthique médicale

Il faut espérer que la commission d'enquête parlementaire réclamée par les Verts afin de dresser le bilan des pratiques des conseils départementaux de l'Ordre, mettra à jour ce dysfonctionnement.

De même, comme le signalait Alexandre Minkowski dans Le Mandarin aux pieds nus: « La dichotomie n'a jamais été traquée par le Conseil de l'Ordre, qui ne peut agir légalement que sur plainte et qui n'est jamais pressé, semble-t-il, de dénicher ces scandales.»

[Extraits de « Exercice illégal de la guérison » de Sylvie SIMON - ISBN 2-87211-066-6]


Elle nous a rappelé (il le fallait) tout le bien qu’il fallait penser de cette officine. Qu’on en juge :

 « Par la loi du 16 août 1940 qui institua l'Ordre des médecins pour une période limitée, le gouvernement de Vichy mit en place une médecine d'État qui asservit la médecine à la « dictature » de cet Ordre. Mais en France, tout le monde sait que le provisoire mène au définitif. Et, depuis l'ordonnance du 24 septembre 1945 qui leur conféra un droit exorbitant, ce sont les conseils de Ordre qui, selon leur bon plaisir, jugent sans appel et décident d'interdire à tel médecin l'exercice de sa fonction.

Seules les dictatures connaissent ces
tribunaux d'exception les plaignants s'érigent en juges et où l'accusé est condamné d'avance. Autrefois, avant l'Ordre, donc au temps du désordre, le serment d'Hippocrate donnait au médecin le droit et le devoir d'exercer la médecine selon sa conscience.(...) Quand, par ailleurs, les tribunaux acquittent les médecins qui soignent avec des remèdes qui guérissent mais n'entrent pas dans le cadre des remèdes officiels, l'Ordre conserve le pouvoir régalien de les condamner. »

[Source : La dictature médico-scientifique par Sylvie Simon, ISBN 978-2850187209]

 

Il apparaît clairement (non?) que le monde médical n’agit que sous influence.

Il n’y a donc RIEN à attendre de lui si ce n’est la stricte application des consignes reçues.

 

Ce long liminaire afin de bien saisir de qui est composé ceux que l’on appelle de façon générique SOIGNANTS.

Sachant donc tout le bien qu’il faut en penser, je veux bien être solidaire avec eux mais comme ils ne le sont pas avec nous, patients, — terme lui aussi inadapté — je vois mal comment le mayonnaise va prendre si une saine auto-critique ne vient pas de leur côté.

Que les choses soient claires : je ne les envoie pas aux pelotes. Si une caisse de secours est créée pour venir en aide aux professionels de santé dans le besoin, je suis partant pour des versements réguliers. En somme : je suis solidaire mais pas amnésique. Je ne peux pas être plus clair.

 

 

 

 

Ligne 'Godefroy'

 

 

 

Il faut bien avancer, pourtant, l’utilité du dispositif Santé n’a plus à être prouvée.

Mais de quelle santé parlons-nous ?

 

De la médecine chimique et mécanique que nous subissons tous ou de celle — j’allais dire : biblique — qui est à nos portes ?

La médecine officielle fait plus de mal que de bien, hormis dans certains domaines comme la médecine urgentiste.

 

Essayons d'avancer.

 

En tout premier lieu, redonner à certaines disciplines thérapeutiques leurs lettres de noblesse. En disant cela, je ne peux pas faire autrement que de penser, pour ne citer qu’elle, à l’herboristerie, ce métier rendu illégal sous Vichy qui aspire à renaître — Tiens… Vichy… déjà évoqué ci-dessus avec le conseil de l’Ordre, venu mettre fin au désordre, donc…. Il n’y a pas de hasard — mais aussi beaucoup d’autres disciplines comme les soins énergétiques dans toutes leur déclinaisons : magnétisme, reïki, par exemple. Toutes disciplines soigneusement enfouies plus bas que terre par la cohorte vertigineuse de gouvernants qui n’hésitent cependant jamais à faire hypocritement appel à elles quand ils ont on os qui fait couic. Et, autres structures à éradiquer, la MIVILUDES ou l’autre nouvelle Inquisition Conspiracy Watch, officines qui, sous des dehors nobles de dénicheurs d’escroquerie, descendent en flammes tout ceux qui ne plaisent pas aux gouvernants.

— dans la foulée du premier chantier, (re)bâtir une formation holistique qui permettrait aux futurs praticiens conventionnels de travailler de concert avec les thérapeutes précités sans formalité ni interdiction aucune.

— travailler avec certains « sachants » qui, çà défaut de savoir soigner, savent déterminer où est le malaise. Les thérapeutes pourront alors entrer en action. Parmi eux, certains mediums ont cette capacité. Là, je sens que la MIVILUDES/Conspiracy Watch (qui aura le cran de les faire disparaître ?) ne vont pas être contents. Mais alors là : pas contents du tout.

Et, SURTOUT, modifier ce qui doit l’être au niveau de :

→ l’éducation nationale (sans majuscule, s’il vous plaît)

qui ne cesse d’encenser Pasteur, cet escroc et la contraindre à le décrire, en lieu et place, tel qui a été

→ le monde des médias

qui en fait tout autant. Un délit (crime, contre tenu de la gravité des faits) devrait d’ailleurs être conceptualisé pour ce genre de forfait. Le mythe vaccinal a environ 140 ans et a largement été alimenté par les médias : personne ne pourra valablement me contredire sur ce point. Voir encore ci-dessus. Nos anciens se souviennent parfaitement avoir vu des gens condamnés pendant la deuxième guerre mondiale pour « propos défaitistes ». Le lecteur intéressé par ce thème lira avec profit ceci.

 

— la Sécurité Sociale

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Ces mêmes anciens ont assisté in vivo aux débuts de la Sécurité Sociale avec l'œuvre magnifique d'Ambroise Croizat. Michel Étiévent son bibliographe insiste pour rappeler que « La Sécu a été entièrement bâtie dans un pays ruiné grâce à la seule volonté militante ». Ils sont aussi les seuls, ces anciens, à se souvenir encore que la Sécurité Sociale, à ses origines, était gérée par… les travailleurs ! Après la guerre, le Conseil national de la résistance (CNR), un groupe de 18 jeunes Résistants mené par Jean Moulin, a décidé d’en finir avec cette insécurité du lendemain. C’est l’idée de cotiser selon ses moyens et recevoir selon ses besoins. C’est le sens d’ailleurs de la première intervention d’Ambroise Croizat, ministre communiste de la Libération, à l’Assemblée nationale en 1945 : « Désormais, nous mettrons fin à l’insécurité du lendemain, nous mettrons l’homme à l’abri du besoin, nous ferons de la retraite non plus l’antichambre de la mort mais une étape de la vie et nous ferons de la vie autre chose qu’une charge et un calvaire. » Du programme rédigé par le CNR naît la fameuse ordonnance du 4 octobre 1945 qui institue la Sécurité sociale.

Michel Étiévent nous enseigne aussi que, en 1945 en France, le taux de mortalité infantile est de 100 pour 1 000. Neuf ans après seulement l’institution de la Sécu, on passe à 30 pour 1 000. De 1915 à aujourd’hui, on a gagné près de trente années d’espérance de vie.  La Sécu va être bâtie par le peuple français, par un petit groupe de militants de base essentiellement issus de la CGT, en fait. Ces mêmes militants géraient la Sécu. La CGT avait d’ailleurs la majorité dans les conseils d’administration des caisses où 75 % des sièges étaient réservés aux travailleurs syndiqués et 25 % aux patrons. Ce sont donc des ouvriers comme Jolfred Fregonara, qui apparaît dans le film La Sociale, qui ont bâti en un temps très court la Sécu. On dit souvent que ça a pris 18 mois parce que ça correspond au temps qu’Ambroise Croizat, qui avait la maîtrise d’œuvre de ce chantier, est resté au gouvernement, mais en fait la création des caisses a eu lieu du 22 mai 1946 à août 1946. C’est un travail considérable. Ces militants vont construire 138 caisses de Sécu et 113 caisses d’allocations familiales, qui vont complètement changer la vie des gens.

 

Avec, entre autres, le plafonnement des cotisations, le patronat a (encore) obtenu un beau cadeau qui tranche radicalement avec ce principe fondateur.

 

 

Pas besoin d'être un fin analyste pour admettre que cette Sécurité Sociale a été dépecée au fil du temps et qu'il est vital de mettre fin à cette curée libérale. Des acteurs ont développé une expertise indéniable dans l'étude cette institution et de son financement, et il serait tout à fait logique qu'on leur confiât la restauration de la Sécu. Ce chapitre est un point incontournable sur la feuille de route du jour d'après.


On ne soigne pas une maladie,
on soigne un malade qui a une maladie.

Cette vérité première — trop souvent bafouée — justife à elle seule la co-existences des médecines alopathique et holistique.

Bref, les pierres à apporter à cet édifice ne pourront l’être, si elles le sont jamais, que de façon collective. Ce n’est pas en prononçant telle ou telle oukase que la population, passive jusqu’à la nausée devant le couillonavirus, acceptera le changement.

Idem pour les Soignants qui ont TOUJOURS baigné dans le mythe vaccinal2. Nul doute que leur acquiescement, même signifié du bout des lèvres, ne prenne du temps. La réaction, par définition, vient quand on n’accepte pas le changement.

Prenons-y garde et commençons,
nous, partisans d’une médecine humaine
sans préférence de discipline,

par convaincre… les Soignants.

 

L’affaire prendra bien deux générations, j’en ai peur. Bien trop d’enfermement intellectuel, de manigances ici ou là, de système hyper-hiérarchisé étouffant les acteurs et laissant (comme d’habitude) les véritables responsables non seulement impunis mais, pire, non inquiétés. Voilà le résultat d'une corruption devenue systémique.

Et tout ceci restaurera, si Dieu nous prête vie, la profession de soignant. Elle ne pourra en effet l’être que si l’on extirpe les maux décrits ci-dessus. Faute de quoi, on re-vaccinera à tour de bras, empoisonnera au Rivotril et autre « chimio-thérapies » et la secte (j’ose le mot) rependra du poil de la bête tel un zona.

Compte tenu du fait que les Soignants n'ont jamais RIEN fait contre le mythe vaccinal (sauf quelques valeureux pionniers à qui je veux absolument rendre le plus vibrant hommage), je ne sais pas pourquoi mais j’ai des craintes sur leur participation active et leur version personnelle du « jour d’après ». 

 

On s’y attaque quand,
M. et Mmes les Soignants ?

 

 

 

 

1 FAUX. Pasteur était chimiste. Vous n’étiez pas tombé dans le piège, j’espère ? C’était pour voir si vous suiviez

2 Il m’a été donné à entendre que les psychiatres admettent qu’il faut autant de temps à quelqu’un qui a été victime d’une secte pour se tirer de l’emprise psychologique qu'il en aura resté prisonnier. Ceci explique l’emprise de la « médecine » conventionnelle-chimique sur ses professionnels.

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16 juillet 2021

Plainte pour crime contre l'humanité contre les dirigeants français : le compte y est-il bien ? [MAJ du 2 août 2021]

 

 

 

Le 28 juin aura marqué l'histoire avec le dépôt d'une plainte pour « crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, mise en servitude, génocide ». Elle a été déposée par le CSAPE (Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens) par un courrier daté du 28 juin, donc.

 

Ce dossier est consultable par tout requérant n'étant pas effrayé par 64 pages de lecture (https://anthropo-logiques.org/wp-content/uploads/2021/07/PLAINTE-CSAPE-FRA-CRIME-CONTRE-HUMANITE.pdf)



Le seul énoncé des personnes poursuivies me laisse personnellement des plus rêveurs. Recevant cette information par un courrier militant, j'ai fait réponse à l'intéressée dans les termes que vous pourrez lire ci-dessous.

 


Bonjour dominical,

J'avais effectivement reçu cette information via mon courrier militant et l'ai immédiatement retransmise à mon groupe de dissidence rouennais, lequel recevra aussi copie de cette réponse.

affiche CERCLE



Si les accusés cités le sont sans l'ombre d'un doute à bon escient, je trouve néanmoins que les plaignants en ont oublié des tonnes. « Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme ! On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme… » aurait dit Rostand.

 

J'observe en effet que l'omerta de fait ayant entouré les procès de Rastatt pour mieux donner d'écho à celui de Nuremberg, semble trouver un écho dans ce dossier où, de façon plus que patente, on a oublié 99% des coupables. J'aimerais bien que les autres actions pour crimes contre l'humanité essaient d'être un peu plus exhaustives (c'est une litote) dans lal listes de poursuivis, faute de quoi le justiciable se demandera à bon droit si, des fois, on n'aurait pas essayer d'épargner certains. Quand je dis « certains », ce qu'on lira ci-dessous montrera que c'est quasiment toute la société qu'il faudrait juger. Qui osera, hormis les pamphlétaires ?

Il faudrait bien, cependant, car les procès de Rastatt n'ont, pour 2 000 personnes poursuivies, condamées que 105 d'entre elles et, au final, n'en ont réellement exécutées que 62. N'y a-t-il pas ici un léger foutage de gueule ? Pourtant ce procès voulait ratisser plus large que les seuls 24 inculpés de Nuremberg au motif, fondé, que la responsabilité se dilue. Le profil des accusés de Rastatt montrait, effectivement, que beaucoup d'entre n'avaient que des reposnabilités et grades très modestes dans les camps de concentration. Cette modestie se retrouve aussi dans le rapport accusé/condamnés déjà cité qui n'est pas — mais alors là, pas du tout — à l'honneur de la magistrature d'alors.

C'est tout le problème de conscience, denrée rare depuis un bail, auquel eszt connfrontée la magistrature qui, palcée devant un dossier comme celui du COVID, devra immanquablement faire celui… de toue la société. Placer 67 millions de personnes ou presque en arrestation est évidemment irréalisable. Mais, dans ces conditions, où est la justice (sans majuscule) ? On a beau se dire que la morale jugera (l'histoire aussi, dans une formule devenue célèbre mais vide de réalité), EN QUOI CE SILENCE JUDICIAiRE COMPLICE EMPËCHERA-T-IL DE FUTURS GOUVERNEMENTS SE RÉITÉRER L'ABOMINATION DU COVID ?

Si je parle de complicité, c'est que, comme vous le verrez, la magistrature, debout ou assise, n'a pas levé le petit doigt pour s'opposer à l'holocauste en préparation. Comment alors, juger…les magistrats ? Vont-ils s'auto-absoudre ?

Je sens bien que mes propos vont déranger…

Quid de Klaus Schwab, grand-prêtre du Great Reset, qui nous promet une « panne  d'Internet » ? Il nous suffit de réflechir en tant soit peu pour imaginer, horrifiés, ce que peut devenir la vie au quotidien avec ce scenario. Tout, ou presque, étant maintenant géré par Internet, plus aucune forme d'approvisionnement pourra être exécutée par la grande distribution, par exemple. Idem pour la stations-essence, dont le réapprovisionnement se fait de façon automatisée sans passer par des interlocuteurs humains. Merci le capitalisme ! Idem pour les transports en commun comme trains ou avions.

Idem pour les services de santé (ou du moins appelés tels) : plus de services comptables opérationnels (nul ne s'en plaindra, toutefois), plus de possibilité de gérer les stocks/réapprovisionnement pour les pharmaciens hospitaliers — donc plus de soins dispensés — , plus de possibilité de solliiciter les ambulances, plus de possiblité de plannifier les blocs opératoires. Je pense inutile de dresser la comptabilité complète de l'horreur. C'est pourtant ce que nous promet cet eugéniste à côté duquel Hitler n'est plus qu'un petit chef de bande du temps de Staline.

Ceci devait être dit en tout premier lieu. À tout seigneur, tout honneur. Bizarrement, il est absent de la liste des accusés du CSAPE alors qu'il est à la tête de… tout. Je rêve ou cela fait désordre ?

Quid des députés qui ont légiféré ici ou là dans le sens que l'on ne sait que trop ? Pour faire bonne mesure : qui n'ont aucunement dénoncé l'ignominie.

Quid des autres parlementaires, tout aussi coupables et pour exactement les mêmes raisons ?

Quid des valets du pouvoir : flics, gendarmes, CRS, etc (ceux qui n'ont pas été cités voudront bien me pardonner) qui ont infligé des amendes injustifiées ou pratiqué une coercition injustifiée ?

Quid de CONSPIRACY WATCHdont on peut voir, à chaque parution, la profonde bonté qui en émane

Quid (j'allais oublier) du monde de la presse, tous media confondus, qui a pris une part omniprésente pour contaminer l'information avec une persévérance au-delà des mots ?

flèche DROITE haute

À ce propos, je lis, dans ma veille quotidienne d'aujourd'hui, les propos d'un grand humaniste et chroniqueur de BFMTV, Emmanuel Lechypre. Cet eugéniste, manifestement handicapé par son prénom, déclare en effet (les sacs-plastique sont sous vos sièges) :

« On vous vaccinera de force, moi je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination. Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s’il le faut [...] Les non-vaccinés, ce sont des dangers publics, donc j'ai une démarche très claire?: je fais tout pour en faire des parias de la société ! »

On vous vaccinera de force, moi je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination. Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s’il le faut [...] Les non-vaccinés, ce sont des dangers publics, donc j'ai une démarche très claire : je fais tout pour en faire des parias de la société !

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88450-300-soignants-italiens-engagent-bataille-democratique-contre-obligation-vaccinale

 

Quid des GAFAM ? Le Sénat américain vient (enfin) de retrouver ses c… dans une déclaration officielle qui ne nous apprend — nous, odieux complotistes — rien du tout. Il n'empêche. Jugez-en :

  • Le narratif officiel sur le coronavirus est mensonger
  • Les médias, le CDC et Anthony Fauci couvrent la vérité
  • Big Pharma et l’OMS sont tenus pour responsables
  • Les BigTechs sont dans le coup (Google, FaceBook, Twitter…) et menacent nos libertés
  • HCQ/Ivermerctine sont efficaces contre le Covid
  • La Chine est coupable et les États-Unis aussi d’avoir financé

Pas mal de colosses se rendent maintenant compte qu'ils ont des pieds d'argile.

Quid des maires qui ont servilement appliqué les consignes reçues ?

Quid des commerçants qui ont refusé l'entrée de leurs échoppes aux non-masqués ? Ils avaient des consignes en ce sens et étaient eux-mêmes menacés de sanctions financières en cas de non-exécution, me répondrait l'avocat du diable. Adolf Eichmann, tortionnaire nazi de triste mémoire, n'a, quant à lui, rien trouvé de mieux à déclarer pour sa défense à Nuremberg que de répondre qu'il s'occupait non de l'extermination d'êtres humains mais tout benoîtement de … « fret ferroviaire »
Sans commentaire.

Quid de l'inaction totale de la magistrature, pourtant " techniquement " compétente pour à la fois constater l'illégalité de la situation et diligenter une action judiciaire ad hoc ?

Quid de l'attitude de carpette des préfets dont, selon moi, seul Jean Moulin est un digne représentant ? Relevé de ses fonctions le 2 novembre 1940 par le gouvernement et placé en disponibilité par le ministre de l'Intérieur Marcel Peyrouton, il aurait pu, comme tant d'autres, vivre entre ses parents le reste de son âge (comme dirait le poète) mais a préféré donner à sa vie la trajectoire que l'on sait.

Quid des structures hospitalières (si j'ose dire) qui interdisent même encore aujourd'hui l'accès de leurs locaux aux non-masqués ?

Quid des cabinets médicaux qui agissent de la même manière ?

Que dire aussi de l'attitude qui consiste à placer un masque sur la bouche d'un patient AU SORTIR d'un bloc opératoire au moment où il a justement besoin, là plus qu'ailleurs, d'une ventilation correcte ? Cet exemple, JE l'ai vécu personnellement. Des objections ?

Quid des traîtres du monde médical qui viennent tout juste de prendre une part active dans la « gestion » de camp de concentration pour jeunes dans les Landes ? Ces abominations étaient déjà en vigueur dans d'autres pays fascistes (Australie…)

Quid des médecins qui, serviles au possible, n'ont pas hésité : non seulement à vacciner à tour de bras mais aussi à déclarer des décès comme dus au COVID… contre 30 euros pour chaque déclaration ? L'affaire est évidemment juteuse.  Idem pour les hôpitaux qui — à tout seigneur, tout honneur — reçoivent, eux, la bagatelle de 4 500 euros pour chaque déclaration COVID.
Beaux exemples de corruption passive qui fait toutefois figure de parent pauvre en regard des conflits d'intérêts avec le " cancer " Big Pharma, situation que vous dénoncez vous-même.

Ce questionnement vaut aussi pour les syndicats de médecins. Ainsi, l'UFMLS a très récemment — 4 juillet 2021 — poussé des cris de vierge offensée dans des termes rendus publics. Comme on pouvait s'en douter, tout le malheur du monde vient des anti-vax(sic) qu'il faut évidemment anéantir. L'holocauste du COVID, en revanche, de leur fait même pas remuer une oreille.

Quel est, à ses yeux, le crime des anti-vacinaux  ? Avoir procédé symboliquement à la pendaison d'un pompier. Y a-t-il là crime ? Délit ? Insulte ?

 

L'article, je suis bien obligé d'en faire état, affiche aussi l'image suivante dont je vous laisse apprécier toute la saveur :

 

taux de vaccination en M&M

 

Notre homme s'appelle Klein, le bien nommé. Effectivement, il est petit. Il a des valeurs, en revanche. Jugeons-en : « Tournoi de foot William Begard de l’Olympique Haussonville dans une ambiance conviviale avec 250 enfants de Nancy et de l’agglomération. Premier événement d’ampleur dans le quartier après les 18 mois de crise sanitaire. »
Compte tenu de l'holocauste en cours, il fallait effectivement communiquer sur le tournoi de foot William Begard de l’Olympique Haussonville. Priorisons ce qui doit l'être, que diable !

Nous ne pouvions du reste pas attendre moins du maire de la ville de Nancy et président de la métropole du Grand Nancy. L'intéressé est naturellement favorable à une vaccination obligatoire, ce qui ne surprendra plus personne. Passons.

 


Quid :
— de TOUS les partis politiques
— de TOUS les syndicats
— de TOUTES les ONG qui ont pourtant tous le propos facile sur la condition humaine au point d'en avoir toujours un peu à la commissure des lèvres,
Quid de tous ceux-là, donc, sans absolument aucune exception, qui n'ont même pas remué l'oreille devant l'holocauste en marche mais qui la ramèneront dès l'orage passé avec une faconde redoublée ?

J'ai eu la faiblesse, début 2020, de me re-syndiquer à SUD Solidaires mais ai fait marche-arrière dès l'été en raison de cette ignoble lâcheté.
Toute cette engeance fait véritablement partie de ce que l'on appelle l'opposition contrôlée. Elle a rejoint, pour moi, la boue qui est visiblement son biotope naturel. Je suis pourtant militant depuis 1974, ce qui fait tout de même quelques semaines, et cela me fait peine de devoir le confesser.
Même le mouvement anarchiste n'a pas levé le petit doigt. Eux aussi, pourtant si prompts à critiquer le crime fait aux peuples. Refus de se porter candidat aux élections… refus de voter et refus… de tout, visiblement. Tout ceci véhiculé par un théoricien anarchiste du nom de… Reclus. Quel symbole !

Et, n'oublions personne, quid de l'indifférence totale (et toujours manifestement présente) de 99+% de la population ? Or, et jusqu'à plus ample informé, toute personne qui se rend complice d'un crime/délit encourt les mêmes peines que celui qu'elle aura aidé. N'est-il pas ?

 

98% s'en foutent

 

La non-dénonciation des malfaiteurs est aussi répréhensible, tant moralement que juridiquement.



Je retiens aussi toute la perversion du système étatique hyper-hiérarchisé, qui est celui des sociétés dites civilisées dont on mesure (enfin ?) toute l'ignominie avec l'affaire du couillonavirus en guise de point d'orgue.
Compte tenu du fait que les Français ont depuis un bail déjà atteint le zéro absolu en matière de conscience politique, j'éprouve les pires craintes et ne souhaite pas développer davantage.

Quand les populations comprendront-elles que le salut viendra d'un système d'auto-gestion et de nul autre schéma ? Tout le monde n'a de cesse de parler de " démocratie  ", véritable Arlésienne que personne ne peut se vanter d'avoir vue. Telle est effectivement la définition du mot : le peuple se gère lui-même en votant. J'ai malheureusement bien peur que le jour d'après qui revient de plus en plus souvent dans les conversations actuelles ne ressemble fort à un petit matin blême, identique à tous les autres. Le chaos sera alors assuré.

Les théories anarchistes sont bien sûr les meilleures — je sais : je vais me faire brutalement des ennemis mais apprenez d'abord ce qu'est l'anarchie avant de tirer à boulets rouges — mais les intéressés ont démissionné. Fin de l'histoire (sans majuscule).

Mais à vouloir dresser une liste exhaustive des ayant-droits, je mesure maintenant toute la folie de mon entreprise. Nettoyer les écuries d'Agias, en comparaison, fait figure de vague passe-temps…

J'arrête là ma liste, n'ayant pas de stylo de rechange.

Voilà que je deviens amer…


 

Maintenant : dépôt de plainte ne veut pas dire recevabilité de ladite plainte.

Mais demain est une autre histoire. Tout comme la date de la toute dernière édition de ce billet qui, soyez-en convaincu, n'est pas demain la veille.

 

 

 

Cordialement démasqué.

 

 

 

20 février 2015

Voyageurs SNCF sans billet : plus c'est gros, mieux ça passe

 

Voyageurs SNCF sans billet :
plus c'est gros, mieux ça passe

 

 

 

Les media, en cette belle journée du 20 février 2015, nous informent abreuvent du plan de la SNCF pour enrayer la fraude dont elle se prétend victime. Une fois de plus, la forme masque le fond, tente de nous faire avaler la pilule mais nous sommes en plein sophisme.

 

Pour être puissante, elle est puissante la déferlante de ce matin . Ce qui l'est beaucoup moins est le raisonnement dont elle est issue ; raisonnement tout droit sorti d'un cabinet de communication qui n'en est pas à son premier sophisme.

Déjà, ces media n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur les éléments chiffrés à publier.

Pour le Monde , la fraude atteindrait 30 millions d'euros. Pour Corse matin, c'est 300 : probablement l'exagération méridionnale. Maintenant, si vous lisez BFMTV, on passe allégrement à… 500 millions. Maintenant, je vais vous démontrer que la perte ne peut tout simplement pas être chiffrée !

 

Deux cas se présentent face à la fraude :

le fraudeur est pris la main dans le sac
Ici, non se
ulement il devra payer son billet assorti d'une amende. La SNCF non seulement ne perd rien mais GAGNE de l'argent

le fraudeur n'est pas contrôlé
La SNCF ne peut donc le faire entrer dans une quelconque statistique
puisqu'inexistant : ni celles quantifiant le nombre de fraudeurs, ni dans celles prétendant évaluer la perte commerciale. Sur quelle base le pourrait-elle ?

Le chiffre de X, Y ou Z (revenez nous voir quand vous serez d'accord, Messieurs !) sort donc tout simplement d'un chapeau de magicien comme, du reste, beaucoup d'informations émanant de structures commerciales, surtout étatisées. Coiffées par les politiques en poste, ceux-ci n'hésitent jamais devant un mensonge pour se faire mousser ou garder leur place (Cochez la case correspondante. Plusieurs réponses possibles). Et la cohorte cupide des media leur emboîte le pas, croyant tromper le monde. Tout ceci me rappelle une chanson d'un Michel Fugain alors en début de carrière : « Les cerises de Monsieur Clément »

 

De République en République, toujours cocus, toujours contents,
On applaudit les bons truands au ventre rond, au ventre blanc
Qui nous revendent les cerises… qu'avait rêvées Monsieur Clément.
Tous ces pontifes des églises, tous ces suiveurs de régiments
Voudront nous manger tout vivants, mais ils se casseront les dents
Sur les noyaux de ces cerises… du verger de Monsieur Clément !

Mais il est vrai que les gens veulent aussi lire ce dont ils ont envie et qui ne soit donc pas une vérité dérangeante. Je crois que l'exemple le plus représentatif du mensoge auquel la majorité (ou presque) veut croire à tout prix et sans réfléchir ne serait-ce qu'un quart de seconde est le mythe vaccinal pourtant détruit — au Sénat, s'il vous plaît — par une révélation de juin 2007 qu'aucun media n'a bien sûr couverte. Lire http://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20070604/sante.html et rechercher l'expression : « il n'existe pas de preuve scientifique sur l'utilité des vaccins ». Quant aux donneurs de leçon, ce même document annonce clairement « qu'aucun cours relatif à la vaccination n'est dispensé dans les facultés de médecine françaises. »

 

Ça va ? Vous n'êtes pas évanoui(e) ?

 

 

NOTE : Jean-Baptiste Clément sur WikiPedia 

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