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Le dernier des mohicans
19 juillet 2021

Solidarité avec les Soignants : oui, MAIS… (MAJ du 21 juillet 2021]

 

 

Il est désormais quasiment incontournable, tant dans les manifestations anti-couillonavirus que dans les différents média s’y rapportant de lire : « Solidarité avec les Soignants ».

Certes, point n’est besoin d’un Bac+30 pour admettre que seule une union sacrée permettra de se sortir de cette épreuve. Celle-ci signifie réunion des opposés. Le problème de la quadrature du cercle n’est pas nouveau et le mot est faible. Il nous faut donc travailler de concert.

 

sans doute, mais sur quelles bases ?

 

Quelque chose me gêne, toutefois. Ces personnes sont (que l’on me rectifie si je me trompe) :

— les médecins qui nous ont vaccinés depuis Pasteur, le bon médecin1 et endoctrinés avec leur discours pro-vaccinal inébranlable

Je ne peux pas faire autrement — désolé — que d'inclure ceux qui défraient la chronique depuis mars 2020 avec l'affaire du couillonavirus : Raoult (sans commentaire. Ou plutôt, si. Un. Dès avril 2020, j'ai annoncé qu'il n'était pas franc du collier et qu'il ne fallait prêter à son discours plus de crédit qu'il n'en mérite. Ceci m'a valu quelques commentaires au vitriol, profanateur que j'étais, aux yeux de mes détracteurs, de la statue du Commandeur), Henrion-Caude, Tubiana, Fouché (si, si…), les époux Delépine. On me pardonnera de ne pas citer tout le monde. Ils nous disent ce que l'on a envie d'entendre… mais AUCUN ne s'est prononcé sur la nocivité des vaccins en général. Même ceux qui sont retraités et qui, donc, ne risquent PLUS AUCUNE foudre du Conseil de l'Ordre, des RAS ou de patients.

Le Pr Perronne, quant à lui, dans une vidéo de ce mois-ci, déclare :

« Moi, ce qui m'affole, aujourd'hui, c'est le fait que la médecine est mise sous cloche par l'administration. C'est-à-dire qu'on enlève toute liberté au médecin et puis on enseigne à la faculté qu'on n'écoute plus les malades. Si un malade a trop de plaintes : c'est psycho-somatique, on ne soigne plus que des résultats de scanner, de biologie.

Cette médecine-là ; je la hais, je la vomis. Moi, je suis là pour écouter le patient, pour trouver une solution avec lui. Une vision totalement pervertie de ce que l'on appelle : « médecine basée sur des preuves » — Evidence-based medicine »

Je sais que les conversions tardivent ont toujours quelque chose d'émouvant mais, allez savoir pourquoi, j'ai du mal à croire à la sincérité du propos. Car enfin, s'il la vomit autant, cette médecine, que ne l'a-t-il pas dit plus tôt ! Et puis, il y a bien d'autres raisons pour haïr cette médecine : les vaccins, sujet qu'il n'aborde jamais dans son intégralité. Pas plus dans cette déclaration-ci que dans les précédentes.

Lui non plus, n'a pas pipé mot à propos du rapport du Sénat de 2007. Se réserverait-il une zone de repli ?

Car enfin, notre homme est né en 1955 et n'est donc pas un perdreau de l'année, tant personnellement que professionnellement. Tout juste de 3 ans le cadet de votre serviteur.

Didier RAOULT n'a pas fait exception à la règle, hélas, et a fini par lâcher le morceau et céder à probablement d'occultes pressions : l'auto-censure en tête de liste, j'en fait le pari.

 

 

Raoult — traîtrise

 

 

Ces médecins sont des Janus (oui, je sais : c'est dur mais à la mesure de l'infâmie) et nous serons bel et bien obligés de nous rabattre sur ceux qui assument leurs propos : au besoin, et visiblement faute de combattants, sur les non-médecins qui ont une opinion sans complaisance. Je pense principalement à Jean-Jacques Crèvecœur tout en espérant qu'il y en ait d'autres ; Serge RADER (†) et Marc VERCOUTÈRE (†) dont les travaux nous restent, grâce au Ciel. Le « cas » Raoult n'est que le premier d'une série que j'espère courte, optimiste que je suis.

Un autre internaute vient d'ailleurs d'écrire quelques commentaires pas très amènes non plus sur le corps médical :

«  Que n’a-t-on vu, que n’a-t-on entendu, heure après heure, jour après jour, mois après mois, qui des professeurs de médecine, qui des chefs de service d’hôpitaux, qui des épidémiologistes, qui des statisticiens des data de la santé..s’installer sur les tréteaux de « la police médiatique » et prendre d’assaut le pouvoir. Sans en prendre conscience nous avons nourri et gavé tant par nos impôts que par la manne inodore des prélèvements sociaux, LE MONDE DE LA SANTE – des sociétés pharmaceutiques jusqu’aux mandarins – profitant à l’excès « de nos peurs »…et s’arrogeant dorénavant un pouvoir politique et financier incontournable.

Dans un premier temps de réflexion on pourrait s’insurger contre ce nouveau pouvoir et cela serait utile… »

 

Le mot est faible…

Faudrait-il, donc, que nous embrassions les médecins ?

— les infirmiers/REs pour qui on peut établir la même accusation

Vacciner à tour de bras et répendre la propagande vaccinale ne les a jamais gênées et, maintenant qu'elles ont compris (pour combien de temps ? Les paris sont ouverts) que les vaccins sont des poisons prient pour qu'on les aide, craignant à juste titre pour leur peau bien plus que pour leur emploi. Curieuse (et révoltante), cette ambivalence !

Autre réalité ahurissante : s'est déroulée chez moi une manifestation, l'an passé, contre les masques. Je me suis donc rendu, comme tout les éveillés, à mon CHU d'où la déambulation devait partir. Et j'ai pu voir, abasourdi, que 80 ou 90 % des professionnels de santé portaient un masque ! Ils n'étaient cependant pas sur leur temps de travail (ou l'obligation demeurait) et bénéficiaient donc de la liberté de ne pas porter de muselière. Comme tous les éveillés, encore une fois. Rien n'y fit. Que peut-on faire contre l'obnubilation et l'auto-censure ?


« Pas de recul »

 

De plus, leurs déclarations sont consternantes !

Elles sont, ces infirmières, contre la vaccination ? Oui, mais pas pour les bonnes raisons ! « Pas de recul » !;, déclarent-elles une fois de plus victimes d'une propagande nationale. Le problème est que les vaccins tuent et que — je sens que je dois ENCORE rappeler le rapport du Sénat de juin 2007 évoqué ci-dessous — IL N'EXISTE AUCUNE PREUVE SCIENTIFIQUE DE L'UTILITÉ DES VACCINS.

Pas de recul, d'un côté, et pas de preuves scientifiques, de l'autre : dans quelle langue faut-il s'exprimer pour convaincre des négationnistes ?

Avec un tel passif : qu'elles fassent d'abord amende honorable. C'est le minimum du minimum. Une information indiquerait que 40% des IDE à Lariboisière ont démissionné. Dont acte. Après, on fait les équipes comment ?

Je soulève le même questionnement : faudrait-il, donc, que nous embrassions les infirmières ?

— les structures hospitalières (si j’ose dire) qui, une fois le patient séquestré admis, lui administrent n’importe quoi sans qu’une information libre et éclairée lui ait été donnée préalablement. Il est alors noyé sous des médicaments qui ne servent à rien. S’il ne fallait qu’un exemple, celui des vaccins emporte la décision ainsi que le rappelle le rapport du Sénat de juin 2007.

 

Celui-ci rapportait les propos tenus lors d’une table ronde dont le sujet était : « Les vaccins en France : quels enjeux pour l'industrie pharmaceutique et la recherche ? ». Aucun philanthropie là-dedans : on parle gros sous. Du reste, il suffit de parcourir la liste des participants pour lever toute ambiguïté sur le côté unilatéral de la pensée:

        • le docteur Fabian Wild, Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) Unité 404 Immunité et Vaccination,

        • M. Fabrice Meillier, chargé de mission des affaires réglementaires du Leem (Les entreprises du médicament), MM. 

        • Hervé Raoul, directeur,

        • François-Loïc Cosser, directeur d'unité, et

        • Vincent Lotteau, chargé des aspects immunitaires et vaccinaux, à l'InsermLaboratoire P4 Jean Mérieux,

        • M. François Guillemin, directeur général de Lyonbiopôle,

        • M. Bertrand Alexandre, directeur de la BU Vaccins de Glaxo Smith Kline (GSK) France, président du Comité vaccins du Leem,

        • M. Alain Sabouraud, pharmacien responsable de Sanofi Pasteur et

        • M. Eric Lecocq, directeur général France de Sanofi Pasteur MSD, et

        • M. Vianney Moreau, directeur des opérations Novartis Vaccines.

 

Sans, naturellement,
aucun représentant du mouvement anti-vaccinal.
Et puis quoi, encore ?

La haute portée humaniste de l’événementiel n’échappera à personne : les enjeux pour l'industrie pharmaceutique et la recherche. Une affaire de fric, donc, car le fait d’ajouter « recherche » en fin de ligne n’est là, ne vous y trompez pas, que pour donner un rien de noblesse à la démarche.

Cela n’a toutefois pas empêché d’officialiser deux réalités que le mouvement anti-vaccinal assène depuis des lustres :

 (docteur Fabian Wild, Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) Unité 404 Immunité et Vaccination)

      • « aucun cours relatif à la vaccination n'est dispensé dans les facultés de médecine françaises. »

(...)

      • « Le président Jean-Michel Dubernard, député, en a convenu, rappelant qu'il n'existe pas de preuve scientifique sur l'utilité des vaccins. »

 

 

rapport du Sénat, juin 2007

 

 

Naturellement aucun « merdia » n’a couvert ces informations
de taille himalayenne un rien dérangeantes :
pas plus alors qu’aujou
rd’hui…

 

Ce long développement pour rappeler à qui l’aurait oublié que les structures hospitalières (il faudra vraiment trouver un autre terme…) ne jurent que par le vaccin. Pardi ! Le verrouillage est bien fait : un médecin évolue en permanence dans une secte2 qui s’assure très bien de sa docilité. L’État, tout d’abord, les ARS ensuite et — à tout seigneur tout honneur — le Conseil de l’Ordre des médecins. On excusera du peu. Bref, les structures hospitalières sont bien évidemment visées par les mêmes suceurs de sang.

La très regrettée Sylvie Simon, qui m’honorait de sa confiance, a beaucoup écrit sur la médecine et je retiens aujourd’hui quelques passages de ses travaux :

 

« Comme le clamait déjà en 1930 un substitut du Procureur au cours du procès d'un guérisseur: « Peu importe que les inculpés aient guéri leurs semblables ! La seule chose qui m'intéresse est de savoir s'ils avaient le droit de guérir. Seules les personnes pourvues de diplômes ont le droit de guérir et même de tuer. Obtenez un diplôme, inculpés, et vous aurez le droit de vie et de mort. »

[Source : « Exercice illégal de la guérison » de Sylvie SIMON - ISBN 2-87211-066-6]


 « En revanche, on a rarement vu le Conseil de l'Ordre exclure les médecins impliqués dans les récents scandales. Ainsi, le Dr Garretta, de triste mémoire, responsable de nombreux décès sans aucune commune mesure avec l'éventuelle culpabilité de la plupart des médecins inculpés, s'est vu infligé une interdiction d'exercer pendant deux ans (alors que l'interdiction initiale était à vie). Et l'Ordre se veut le garant de !'éthique médicale

Il faut espérer que la commission d'enquête parlementaire réclamée par les Verts afin de dresser le bilan des pratiques des conseils départementaux de l'Ordre, mettra à jour ce dysfonctionnement.

De même, comme le signalait Alexandre Minkowski dans Le Mandarin aux pieds nus: « La dichotomie n'a jamais été traquée par le Conseil de l'Ordre, qui ne peut agir légalement que sur plainte et qui n'est jamais pressé, semble-t-il, de dénicher ces scandales.»

[Extraits de « Exercice illégal de la guérison » de Sylvie SIMON - ISBN 2-87211-066-6]


Elle nous a rappelé (il le fallait) tout le bien qu’il fallait penser de cette officine. Qu’on en juge :

 « Par la loi du 16 août 1940 qui institua l'Ordre des médecins pour une période limitée, le gouvernement de Vichy mit en place une médecine d'État qui asservit la médecine à la « dictature » de cet Ordre. Mais en France, tout le monde sait que le provisoire mène au définitif. Et, depuis l'ordonnance du 24 septembre 1945 qui leur conféra un droit exorbitant, ce sont les conseils de Ordre qui, selon leur bon plaisir, jugent sans appel et décident d'interdire à tel médecin l'exercice de sa fonction.

Seules les dictatures connaissent ces
tribunaux d'exception les plaignants s'érigent en juges et où l'accusé est condamné d'avance. Autrefois, avant l'Ordre, donc au temps du désordre, le serment d'Hippocrate donnait au médecin le droit et le devoir d'exercer la médecine selon sa conscience.(...) Quand, par ailleurs, les tribunaux acquittent les médecins qui soignent avec des remèdes qui guérissent mais n'entrent pas dans le cadre des remèdes officiels, l'Ordre conserve le pouvoir régalien de les condamner. »

[Source : La dictature médico-scientifique par Sylvie Simon, ISBN 978-2850187209]

 

Il apparaît clairement (non?) que le monde médical n’agit que sous influence.

Il n’y a donc RIEN à attendre de lui si ce n’est la stricte application des consignes reçues.

 

Ce long liminaire afin de bien saisir de qui est composé ceux que l’on appelle de façon générique SOIGNANTS.

Sachant donc tout le bien qu’il faut en penser, je veux bien être solidaire avec eux mais comme ils ne le sont pas avec nous, patients, — terme lui aussi inadapté — je vois mal comment le mayonnaise va prendre si une saine auto-critique ne vient pas de leur côté.

Que les choses soient claires : je ne les envoie pas aux pelotes. Si une caisse de secours est créée pour venir en aide aux professionels de santé dans le besoin, je suis partant pour des versements réguliers. En somme : je suis solidaire mais pas amnésique. Je ne peux pas être plus clair.

 

 

 

 

Ligne 'Godefroy'

 

 

 

Il faut bien avancer, pourtant, l’utilité du dispositif Santé n’a plus à être prouvée.

Mais de quelle santé parlons-nous ?

 

De la médecine chimique et mécanique que nous subissons tous ou de celle — j’allais dire : biblique — qui est à nos portes ?

La médecine officielle fait plus de mal que de bien, hormis dans certains domaines comme la médecine urgentiste.

 

Essayons d'avancer.

 

En tout premier lieu, redonner à certaines disciplines thérapeutiques leurs lettres de noblesse. En disant cela, je ne peux pas faire autrement que de penser, pour ne citer qu’elle, à l’herboristerie, ce métier rendu illégal sous Vichy qui aspire à renaître — Tiens… Vichy… déjà évoqué ci-dessus avec le conseil de l’Ordre, venu mettre fin au désordre, donc…. Il n’y a pas de hasard — mais aussi beaucoup d’autres disciplines comme les soins énergétiques dans toutes leur déclinaisons : magnétisme, reïki, par exemple. Toutes disciplines soigneusement enfouies plus bas que terre par la cohorte vertigineuse de gouvernants qui n’hésitent cependant jamais à faire hypocritement appel à elles quand ils ont on os qui fait couic. Et, autres structures à éradiquer, la MIVILUDES ou l’autre nouvelle Inquisition Conspiracy Watch, officines qui, sous des dehors nobles de dénicheurs d’escroquerie, descendent en flammes tout ceux qui ne plaisent pas aux gouvernants.

— dans la foulée du premier chantier, (re)bâtir une formation holistique qui permettrait aux futurs praticiens conventionnels de travailler de concert avec les thérapeutes précités sans formalité ni interdiction aucune.

— travailler avec certains « sachants » qui, çà défaut de savoir soigner, savent déterminer où est le malaise. Les thérapeutes pourront alors entrer en action. Parmi eux, certains mediums ont cette capacité. Là, je sens que la MIVILUDES/Conspiracy Watch (qui aura le cran de les faire disparaître ?) ne vont pas être contents. Mais alors là : pas contents du tout.

Et, SURTOUT, modifier ce qui doit l’être au niveau de :

→ l’éducation nationale (sans majuscule, s’il vous plaît)

qui ne cesse d’encenser Pasteur, cet escroc et la contraindre à le décrire, en lieu et place, tel qui a été

→ le monde des médias

qui en fait tout autant. Un délit (crime, contre tenu de la gravité des faits) devrait d’ailleurs être conceptualisé pour ce genre de forfait. Le mythe vaccinal a environ 140 ans et a largement été alimenté par les médias : personne ne pourra valablement me contredire sur ce point. Voir encore ci-dessus. Nos anciens se souviennent parfaitement avoir vu des gens condamnés pendant la deuxième guerre mondiale pour « propos défaitistes ». Le lecteur intéressé par ce thème lira avec profit ceci.

 

— la Sécurité Sociale

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Ces mêmes anciens ont assisté in vivo aux débuts de la Sécurité Sociale avec l'œuvre magnifique d'Ambroise Croizat. Michel Étiévent son bibliographe insiste pour rappeler que « La Sécu a été entièrement bâtie dans un pays ruiné grâce à la seule volonté militante ». Ils sont aussi les seuls, ces anciens, à se souvenir encore que la Sécurité Sociale, à ses origines, était gérée par… les travailleurs ! Après la guerre, le Conseil national de la résistance (CNR), un groupe de 18 jeunes Résistants mené par Jean Moulin, a décidé d’en finir avec cette insécurité du lendemain. C’est l’idée de cotiser selon ses moyens et recevoir selon ses besoins. C’est le sens d’ailleurs de la première intervention d’Ambroise Croizat, ministre communiste de la Libération, à l’Assemblée nationale en 1945 : « Désormais, nous mettrons fin à l’insécurité du lendemain, nous mettrons l’homme à l’abri du besoin, nous ferons de la retraite non plus l’antichambre de la mort mais une étape de la vie et nous ferons de la vie autre chose qu’une charge et un calvaire. » Du programme rédigé par le CNR naît la fameuse ordonnance du 4 octobre 1945 qui institue la Sécurité sociale.

Michel Étiévent nous enseigne aussi que, en 1945 en France, le taux de mortalité infantile est de 100 pour 1 000. Neuf ans après seulement l’institution de la Sécu, on passe à 30 pour 1 000. De 1915 à aujourd’hui, on a gagné près de trente années d’espérance de vie.  La Sécu va être bâtie par le peuple français, par un petit groupe de militants de base essentiellement issus de la CGT, en fait. Ces mêmes militants géraient la Sécu. La CGT avait d’ailleurs la majorité dans les conseils d’administration des caisses où 75 % des sièges étaient réservés aux travailleurs syndiqués et 25 % aux patrons. Ce sont donc des ouvriers comme Jolfred Fregonara, qui apparaît dans le film La Sociale, qui ont bâti en un temps très court la Sécu. On dit souvent que ça a pris 18 mois parce que ça correspond au temps qu’Ambroise Croizat, qui avait la maîtrise d’œuvre de ce chantier, est resté au gouvernement, mais en fait la création des caisses a eu lieu du 22 mai 1946 à août 1946. C’est un travail considérable. Ces militants vont construire 138 caisses de Sécu et 113 caisses d’allocations familiales, qui vont complètement changer la vie des gens.

 

Avec, entre autres, le plafonnement des cotisations, le patronat a (encore) obtenu un beau cadeau qui tranche radicalement avec ce principe fondateur.

 

 

Pas besoin d'être un fin analyste pour admettre que cette Sécurité Sociale a été dépecée au fil du temps et qu'il est vital de mettre fin à cette curée libérale. Des acteurs ont développé une expertise indéniable dans l'étude cette institution et de son financement, et il serait tout à fait logique qu'on leur confiât la restauration de la Sécu. Ce chapitre est un point incontournable sur la feuille de route du jour d'après.


On ne soigne pas une maladie,
on soigne un malade qui a une maladie.

Cette vérité première — trop souvent bafouée — justife à elle seule la co-existences des médecines alopathique et holistique.

Bref, les pierres à apporter à cet édifice ne pourront l’être, si elles le sont jamais, que de façon collective. Ce n’est pas en prononçant telle ou telle oukase que la population, passive jusqu’à la nausée devant le couillonavirus, acceptera le changement.

Idem pour les Soignants qui ont TOUJOURS baigné dans le mythe vaccinal2. Nul doute que leur acquiescement, même signifié du bout des lèvres, ne prenne du temps. La réaction, par définition, vient quand on n’accepte pas le changement.

Prenons-y garde et commençons,
nous, partisans d’une médecine humaine
sans préférence de discipline,

par convaincre… les Soignants.

 

L’affaire prendra bien deux générations, j’en ai peur. Bien trop d’enfermement intellectuel, de manigances ici ou là, de système hyper-hiérarchisé étouffant les acteurs et laissant (comme d’habitude) les véritables responsables non seulement impunis mais, pire, non inquiétés. Voilà le résultat d'une corruption devenue systémique.

Et tout ceci restaurera, si Dieu nous prête vie, la profession de soignant. Elle ne pourra en effet l’être que si l’on extirpe les maux décrits ci-dessus. Faute de quoi, on re-vaccinera à tour de bras, empoisonnera au Rivotril et autre « chimio-thérapies » et la secte (j’ose le mot) rependra du poil de la bête tel un zona.

Compte tenu du fait que les Soignants n'ont jamais RIEN fait contre le mythe vaccinal (sauf quelques valeureux pionniers à qui je veux absolument rendre le plus vibrant hommage), je ne sais pas pourquoi mais j’ai des craintes sur leur participation active et leur version personnelle du « jour d’après ». 

 

On s’y attaque quand,
M. et Mmes les Soignants ?

 

 

 

 

1 FAUX. Pasteur était chimiste. Vous n’étiez pas tombé dans le piège, j’espère ? C’était pour voir si vous suiviez

2 Il m’a été donné à entendre que les psychiatres admettent qu’il faut autant de temps à quelqu’un qui a été victime d’une secte pour se tirer de l’emprise psychologique qu'il en aura resté prisonnier. Ceci explique l’emprise de la « médecine » conventionnelle-chimique sur ses professionnels.

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